Jour de fête pour tous à Noidans-lès-Vesoul le 30 août

Le samedi 30 août, rendez-vous avait été donné aux Noidanais et Noidanaises au complexe sportif René-Billet pour une journée de fête et ils furent nombreux à honorer ce rendez-vous.

Quel plaisir de retrouver un peu l’esprit des fêtes de village qui se sont faites si rares ces dernières années ! Et la fête fut complète. Les enfants purent profiter du carrousel et tourner toute la journée sous le regard attendri de leurs parents, les moins jeunes se sont défoulés pendant de longues parties de baby-foot géant. 

Rendez-vous honoré également par de nombreuses associations noidanaises qui ont répondu présent aux sollicitations de la municipalité et qu’il importe de remercier pour leur engagement : l’association des chasseurs qui a tenu un stand de tir très fréquenté où les dames ont brillé autant et plus que les hommes, l’ACF – que l’on ne présente plus – et qui est toujours présente quand il s’agit de donner vie à notre village, l’ASPTT Tennis qui apprend à tous à dompter la bondissante petite balle jaune, le comité de jumelage qui fit goûter à tout le monde les désormais fameux caramels polonais – nous ne sommes pas près d’oublier son jeu de la grenouille -, les deux grands clubs sportifs noidanais, bien sûr : le Football Club Noidanais qui proposait de multiples jeux de ballons et ouvrit pour l’occasion sa célèbre buvette et le Handball Club de Noidans qui permit à tous de tester son adresse au tir.

Le groupe noidanais Assaman assura une joyeuse animation musicale dans un style wold music chaud et vibrant. Son concert était un modèle du genre.

Mais le clou de la journée fut sans doute le spectacle de cirque donné par les élèves de Cirq’Évasion qui avait monté son magnifique chapiteau sur le terrain de football stabilisé près du collège. Les Noidanais, jeunes et moins jeunes, furent émerveillés par l’adresse des jeunes élèves mais aussi sensibles à l’étrange poésie qui émane toujours des spectacles de cirque qui ont attiré tous les artistes depuis la fin du XIXe siècle.